Puisqu'on ne vivra jamais
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Tu viendras toujours du côté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Puisqu'on ne vivra jamais
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire